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  La Maison Dieu

kaniagostyn *UKS Kania Gostyń

Celine Dion - Cest Pour Vivre [1997].
1. Mon Ami M'a Quittee
2. La Dodo La Do
3. Hymne A L'Amitie
4. Je Ne Veux Pas
5. C'est Pour Vivre
6. En Amour
7. Ne Me Plaignez Pas
8. Les Chemins De Ma Maison
9. Hello Mister Sam
10. Trois Heures Vingt
11. Trop Jeune A Dix Sept Ans
12. Paul Et Virginie
13. La Voix Du Bon Dieu
14. Benjamin





Legiao Urbana - Uma Outra Estacao.

1. Riding Song
2. Uma Outra Estação
3. As Flores Do Mal
4. La Maison Dieu
5. Clarisse
6. Shubert Landier
7. A Tempestade Escute Real
8. High Noon (Do Not Forsake Me)
9. ComÊdia Romântica
10. Dado Viciado E
11. Marcianos Invadem A Terra
12. Antes Das Seis
13. Mariane
14. Sagrado Coração
15. Travessia Do Eixão


http://www.divshare.com/download/1303589-308


Legiao Urbana - Uma Outra Estacao. MĂşsicas:
01 - Riding Song (03:03)
02 - Uma Outra Estação (03:59)
03 - As Flores do Mal (04:33)
04 - La Maison Dieu (06:54)
05 - Clarisse (01:34)
06 - Schubert Ländler (01:10)
07 - A Tempestade (04:15)
08 - High Noon (Do Not Forsake Me) (01:30)
09 - ComÊdia Romântica (02:56)
10 - Dado Viciado (02:33)
11 - Marcianos Invadem A Terra (02:37)
12 - Antes das Seis (03:11)
13 - Mariane (03:16)
14 - Sagrado Coração (06:30)
15 - Travessia do Eixão (03:36)


http://www.4shared.com/account/file/92953937/9ee804ce/Legio_Urbana_-_Uma_Outra_Estao__1997___BlogMetalofHonor_.html


Slucham sobie.... Coralie ClĂŠment

Ca Valait La Peine

by B. Biolay

Je n'osais pas te le dire
Encore moins te l'ĂŠcrire
J'attendais le moment
opportun, important
Je ne savais pas comment faire
Oh ! Mon dieu quel enfer
Et par où commencer
C'est la timiditĂŠ
Je ne savais rien de la vie
Ni de la dernière pluie
Près d'un petit ruisseau
De la vie en duo
Oui mais j'ai du me rĂŠsoudre
A faire parler la poudre
A passer le turbo
Un soir au bord de l'eau
Ca valait la peine
C'est sûr
Ca en valait la peine
Ca valait la peine
C'est sûr
De te dire que je t'aime
Je n'avais pas de raison
De me priver
De ton beau regard azurĂŠ
Si longtemps dĂŠsirĂŠ
Je n'avais pas l'intention
De sortir les violons
Mais avant le refrain
D'arriver à mes fins.
Je n'ai pas envisagĂŠ
Les remords, les regrets
J'apprĂŠcie mon bonheur
Dans la maison en fleurs
Et je n'ai pas regrettĂŠ
D'avoir osĂŠ oser
Près du pont Mirabeau
Un soir au bord de l'eau
Ca valait la peine
C'est sûr
Ca en valait la peine
Ca valait la peine
C'est sûr
De te dire que je t'aime


Schaffe, schaffe, HaĂźsle baue. Prions:
Très glorieux saint Michel, chef et prince des armĂŠes cĂŠlestes, gardien fidèle
des âmes, vainqueur des esprits rebelles, favori de la maison de Dieu, notre
admirable guide après JĂŠsus-Christ, vous dont l'excellence et la vertu sont
sureminentes : daignez nous dĂŠlivrer de tous les maux, nous tous qui recourons à
vous avec confiance, et faites par votre incomparable protection, que nous
avancions chaque jour dans la fidĂŠlitĂŠ à servir Dieu.
Amen.
Pinot Noir niejedno ma imie. Pinot Noir niejedno ma imie
Dzieki kilku znajomym udalo nam sie zebrac kilka ciekawych Pinot Noir i nie tylko:

Balter Brut Trento

Longariva Gramine Vignetti delle Dolomiti '04

Domaine Chene Chateau Chardon Bourgogne '02

Longariva Zinzele Trentino '99

Nicolas Potel Maison Dieu Bourgogne '99

Haber Hauer Burgenland '00

Kir-Yianni Ramnista Naoussa '00

Kicker Neusiedlersee Hugelland '03

Bonnamy Coteau du Layon '02

a potem mocno (i) nie na temat czyli Drambuie Skye Island oraz
niektorzy zaryzykowali bliskie spotkanie z Xiang Yuan Yi Qing
i co wiecej wyszli z tego calo i z usmiechem na ustach:-)

Bezsporna gwiazda wieczoru bylo Maison Dieu Potela za nieslychana czystosc
owocu oraz urzekajace poziomkowo miesne aromaty.

Kicker dal wszystkim duzo radosci - teraz wiem co deo ma na mysli mowiac o
owocu i ziemi - wino dla nas Polakow - sporo miodowej slodyczy zlamanej
szalwiowa goryczka.

Przyjemne lekkie malinowo-pieprzne w zapachu Bourgogne z Dom. Chene.

Dobre do jedzenia kwasowe Brut i lososiowe Gramine macerowane na skorkach
a la Gravner.

Powazniejsze (beczkowe) wina niestety nieco zawiodly:

zbyt sucho taniczne w smaku Ramnista (choc roztaczajace uroczy
piniowo-herbaciano-anyzkowy aromat);

soczystsze i bardziej kwasowe niz R choc nieco gorzkawe w koncowce
wino Habera - zapachy lakieru oraz olejku sosnowego oslodzone ciastkiem ponczowym;

zdominowane beczka (mimo dekantacji) Zinzele - malo owocu w smaku, dobra
struktura choc niestety oparta na beczkowych wysychajacych w koncowce
garbnikach okraszonych zlozonym aromatem wanilii, kleju do samolotow plus ciut
glogu i nut cytrynowych - w sumie wg mnie ocena w MW 85 punktow moglaby byc
wyzsza ale niewiele tak z 1-2 pkt;

Dziekujac gosciom za udany i jakze pouczajacy wieczor pozdrawiamy
star&let

PS. Wnikliwi czytelnicy wykryja wsrod wyzej wymienionych Pinotow inne odmiany
winogron (tak ze 2-3).
________HISTOIRE________. La mort de RAVAILLAC
Dit a estĂŠ que ladite Cour a dĂŠclarĂŠ et dĂŠclare ledit Ravaillac dûment atteint
et convaincu du crime de lèse MajectĂŠ divine et humaine, au premier chef, pour
le très mĂŠchant, très abominable, et très dĂŠtestable parricide, commis en la
personne du feu Roi Henri IV de très bonne et louable mĂŠmoire. Pour rĂŠparation
duquel l’a condamnĂŠ et condamne faire amende honorable devant la principale
porte de l’Eglise de Paris où il sera menĂŠ et conduit dans un tombereay, là,
nu en chemise, tenant une torche ardente du poids de deux livres, dire et
dĂŠclarer que malheureusement et proditoirement il a commis ledit très mĂŠchant,
très abominable et très dĂŠtestable parricide, et tuĂŠ ledit Seigneur Roi de
deux coups de couteau dans le corps, dont se repent, demande pardon à Dieu, au
Roi et à Justice ; de là, conduit à la place de Grève et un ĂŠchafaud qui y
sera dressĂŠ, tenaillĂŠ aux mamelles, bras, cuisses et gas des jambes, sa main
dextre y tenant le couteau duquel a commis ledit parricide ard et brûlĂŠe de
feu de soufre, et sur les endroits où il sera tenaillĂŠ, jetĂŠ du plomb fondu,
de l’huile bouillante, de la poix raisine brûlante, de la cire et du soufre
fondus ensemble. Ce fait, son corps tirĂŠ et dĂŠmembrĂŠ à quatre chevaux, ses
membres et corps consommĂŠs au feu, rĂŠduits en cendres, jetĂŠs au vent. A
dĂŠclarĂŠ et dĂŠclare tous et chacun ses biens acquis et confisquĂŠs au Roi.
OrdonnĂŠ que la maison où il a ĂŠtĂŠ nĂŠ sera dĂŠmolie, celui à qui elle appartient
prĂŠalablement indemnisĂŠ, sans que sur le fonds puisse à l’avenir être fait
autre bâtiment. Et que dans quinzaine après la publication du prĂŠsent Arrêt à
son trompe et cri public en la ville d’Angoulême, son père et sa mère videront
le royaume avec dĂŠfense d’y revenir jamais, à peine d’être pendus et
ĂŠtranglĂŠs, sans autre forme ni figure de procès. A fait et fait dĂŠfenses à ses
frères, soeurs, oncles et autres, porter ci_après ledit nom de Ravaillac, leur
enjoint le changer en autre sur les mêmes peines. Et au subsitut du Procureur
GĂŠnĂŠral du Roi faire publier et exĂŠcuter le prĂŠsent arrêt, à peine de s’en
prendre à lui. Et avant l’exĂŠcution d’icelui Ravaillac, ordonnĂŠ qu’il sera
appliquĂŠ à la question pour la rĂŠvĂŠlation de ses complices.



Najlepsze ciasto na swiecie. pain et le sacrĂŠ
Le premier texte à ĂŠvoquer le levain est la Genèse, texte de rĂŠfĂŠrence pour les
trois Religions du Livre. Chacune d'elles, à des degrĂŠs diffĂŠrents, à intĂŠgrĂŠ
le pain dans ses cĂŠlĂŠbrations.

Il ne faut pas être thĂŠologien pour savoir à quel point le pain est important
dans le christianisme.
Le nom même de BethlĂŠem signifie "La maison du Pain" en aramĂŠen, et les
ĂŠpisodes qui font rĂŠfĂŠrence au pain sont nombreux dans la Bible: le jeûne de
JĂŠsus dans le dĂŠsert, le miracle de la multiplication des pains, le discours de
JĂŠsus sur le "pain de vie"...
Et bien entendu, le pain est au coeur de l'eucharistie: la formule "ceci est
mon corps" et le geste de rompre le pain avaient une force symbolique ĂŠnorme
dans une civilisation basĂŠe sur la culture du blĂŠ.

Le rite de la bĂŠnĂŠdiction et du partage du pain s'est gĂŠnĂŠralisĂŠ au IXème
siècle, sous l'influence du pape LĂŠon IV.
En ce temps-là, on prêtait au pain bĂŠnit (offert aux ĂŠglises par leurs fidèles
les plus riches) le pouvoir d'anĂŠantir les pĂŠchĂŠs vĂŠniels et de guĂŠrir les
maladies.
On commença à fabriquer des hosties (avec de la farine de froment et de l'eau)
au XIème siècle.


Pour les HĂŠbreux le pain levĂŠ ĂŠtait un pain de tous les jours, par opposition
au pain azyme, non levÊ, consommÊ lors de la Pâque.
La fermentation -qui ĂŠvoque le putride, l'impuretĂŠ- est selon certains à
l'origine de cette distinction.
Quoi qu'il en soit, le peuple de Moïse cĂŠlèbre la Pâque avec du pain azyme
exclusivement, en commĂŠmoration de la fuite prĂŠcipitĂŠe d'Egypte : le pain
n'avait pas eu le temps de lever.

D'autre part les HĂŠbreux se sont intĂŠressĂŠs au mode de reproduction des
plantes. Ils ont tirĂŠ de leurs observations des cĂŠrĂŠales une conception de la
naissance de la vie et de l'humanitĂŠ.
Ainsi Dieu a dit à l'homme et à la femme: "Soyez fĂŠconds, multipliez, emplissez
la terre et soumettez-la." Il a ensuite ajoutĂŠ: "Je vous donne toutes les
herbes portant semence (...) et tous les arbres qui ont des fruits portant
semence: ce sera votre nourriture."


Avant J-C, le pain ĂŠtait dĂŠjà associĂŠ à une forme de spiritualitĂŠ puisque les
hommes du NĂŠolithique conservaient leurs morts et leurs grains dans les mêmes
fosses, ĂŠtablissant ainsi un lien entre les cĂŠrĂŠales et l'au-delà.
Les Romains avaient ĂŠgalement coutume d'offrir des pains aux dĂŠfunts et cette
tradition s'est propagĂŠe en Gaule.
Actuellement encore, les habitants de certaines rĂŠgions offrent aux
enterrements le pain bĂŠnit des morts.
















Poolse bruid (fiancĂŠe polonaise). Poolse bruid (fiancĂŠe polonaise)
zrodlo: www.ouest-france.fr

Venues dans les valises de prisonniers français

Au lendemaindu 8 mai 1945, Genevi?ve et Lucienne firentle choix de leur vie. DÊportÊes en Allemagne,elles y avaient croisÊ et aimÊ deux prisonniers bretons.Elles dÊcid?rent de les suivre. De vivre dans des familles françaises qui ne comprenaient pas pourquoi leurs fils ramenaient ces Polonaises dans leurs valises.

L?-bas, en Pologne, elles s'appelaient Geneva et Lucina. La vie leur a donnÊ un nom et un prÊnom français. Dans sa petite maison de LouvignÊ-de-Bais, pr?s de VitrÊ, Genevi?ve Crocq, 84 ans, se souvient. ? En 1939, des soldats allemands sont venus chez mes parents. Un camion Êtait devant la porte. Ils m'ont embarquÊe avec mon fr?re. J'avais 18 ans et demi, lui 17. ? Lucienne Brochard, 77 ans, sa voisine de La Guerche-de-Bretagne, a 13 ans quand elle est raflÊe dans un autre village. ? On Êtait six ? la maison. C'Êtait en pleine nuit. Ma m?re pleurait. Elle tentait de suivre les soldats pour reprendre ses enfants. ? Des milliers de Polonais s'entasseront ainsi dans des wagons ? bestiaux pour aller remplacer dans les fermes allemandes les salariÊs partis au front. ? On nous exhibait dans des baraquements o? les fermiers venaient choisir leurs esclaves. ?

De 1939 ? 1945, Genevi?ve et Lucienne ne reçoivent aucun centime pour leur rude travail. Rien. Leur seul rayon de soleil est de croiser deux jeunes prisonniers de guerre français qui partagent leur sort le jour avant de rejoindre leur camp la nuit. Deux Bretons. Jean Crocq travaille dans la ferme de Genevi?ve. Ils se plaisent. De leur amour en pleine guerre naÎt un enfant. Lucienne, elle, a rencontrÊ un mÊcanicien, Alfred Brochard. ? Plusieurs fois, je lui ai pris son vÊlo, dans son dos, pour essayer d'en faire. Mais je n'y arrivais pas. Il a dÊcouvert mon petit man?ge, a proposÊ de m'apprendre ? pÊdaler. ? Lucienne et Alfred ne se sont plus quittÊs.

Arrive le 8 mai 1945. Les prisonniers et les dÊportÊs sont libÊrÊs : ? Nos Français ne voulaient pas venir en Pologne, alors on les a suivis en France. ? En juin 1945, les deux jeunes femmes, qui ne se connaissent pas, arrivent en gare de Rennes, presque soulagÊes : la guerre est finie. Mais une autre bataille commence. Avec leur belle-famille : ? Ils devaient croire qu'on leur volait leurs fils. ?

Les p?res - des agriculteurs du pays de VitrÊ - n'aiment pas ces femmes qui parlent une autre langue. ? Il n'y avait pas assez de Françaises ici pour que tu nous ram?nes une Êtrang?re ! ? Les parents de Jean, attachÊs aux traditions, n'apprÊcient pas de le voir revenir avec une femme et un bÊbÊ. En pleine nuit, lui et Genevi?ve sont mis ? la porte du petit moulin familial. Assise sur les marches, la jeune m?re expatriÊe sert son bÊbÊ dans ses bras, incapable de comprendre pourquoi le sort s'acharne autant sur ses pauvres Êpaules : ? J'ai beaucoup pleurÊ... ? Le jeune couple est accueilli par la famille d'Alphonse Baglin, le boucher de LouvignÊ-de-Bais, qui les aide ? trouver un logement avec l'aide du maire. ? C'est la premi?re fois qu'on trouvait autant de gentillesse. Ils mÊritent bien d'?tre au paradis. ? Alphonse Baglin connaÎt 'une autre Polonaise' dans le coin. C'est lui qui mettra les deux femmes en relation. Lucienne, en effet, vit tout pr?s. MariÊe ? Alfred, qui a trouvÊ un garage o? travailler, elle s'est installÊe ? La Guerche-de-Bretagne, toujours en Ille-et-Vilaine. Le couple aura deux enfants. ? Au dÊbut, nous n'avions pas un centime. Rien. J'ai toujours voulu travailler pour ne rien devoir ? personne. ? Lucienne a gagnÊ sa vie ? l'hôpital de La Guerche.

De l'union de Genevi?ve avec Jean sont nĂŠs cinq enfants, ĂŠlevĂŠs dans le petit moulin de LouvignĂŠ-de-Bais que le couple a finalement achetĂŠ avec ses maigres moyens, en travaillant dur. Au fil des annĂŠes, les deux femmes ont rĂŠussi ? forcer l'admiration de ce monde rural qui avait tant de mal ? les accepter au dĂŠbut, mais qui a su reconnaĂŽtre leur courage et leur volontĂŠ. Non, elles n'ont pas volĂŠ leurs maris !

Longtemps apr?s, Lucienne et Genevi?ve ont eu l'occasion de retourner en Pologne. La seconde a m?me jouÊ les interpr?tes pour un maçon français qui voulait y recruter de la main-d'oeuvre. Mais, au fil des annÊes, les liens avec la famille se sont distendus. La Pologne Êtait du mauvais côtÊ du rideau de fer. Et, de toute façon, ni les uns ni les autres n'avaient l'argent pour se payer le voyage...

Genevi?ve Crocq et Lucienne Brochard sont veuves aujourd'hui. Elles se retrouvent rÊguli?rement ? LouvignÊ-de-Bais pour Êchanger leurs souvenirs ? l'ombre du vieux moulin. Des regrets ? Lucienne hausse les Êpaules. A dire vrai, elle aimerait retrouver ? sa ? Pologne et sa famille. Genevi?ve, elle, a tournÊ la page : ? Le bon Dieu m'a ouvert la porte ici. Je suis entrÊe par ces petites marches. J'y suis, j'y reste. Je finirai mes jours l? ?, dit-elle dans un français courant, mais toujours relevÊ d'une pointe d'accent. D'ailleurs, il faudra que quelqu'un l'aide ? lire cet article. Dans la France de 45, il n'existait pas de cours de lecture en français pour les Polonaises expatriÊes.
Bertrand BONENFANT.

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